
« Il ne faut pas plus d’argent, il faut moins de malades »
Question épineuse que celle de l’investissement en santé. À laquelle les réponses sont nombreuses. Payer plus ? Améliorer l’efficience ? Mieux cibler ? Mieux coordonner ? La réponse de Franck Chauvin, ancien président du Haut Conseil de la santé publique, a le mérite de remettre les choses d’équerre : « nous consacrons déjà 11,8 % de notre PIB à la santé : il ne faut pas forcément plus d’argent, mais moins de malades. »